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Un livre, un Film

Un livre, un Film
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8 février 2011

La Vague le livre, critique

Le livre  La Vague, a été publié en 2008 par l'écrivain Todd Strasser. Son livre est issu d'une histoire vraie, en 1969 dans un lycée d'une classe de terminale aux Etats-Unis.

Ce livre raconte l'histoire d'un professeur d'histoire qui a décidé de marquer les esprits en diffusant un documentaire sur l'histoire de la 2nd Guerre Mondiale lors des camps des camps de concentration.

Cependant, les élèves ne comprennent pas pourquoi personne n'a parfois réagi alors qu'un tel massacre se passait à quelques kilomètres de chez eux. Le professeur, ben Ross décide alors de faire une expérience partant sur le fonctionnement d'un groupe menée par un chef. La suite du livre évoquera qu'il n'aurait jamais du commencer ce projet…

A la fois marquant et révoltant, ce livre nous démontre un aspect de l’être humain et d’une civilisation plus moderne. L’homme et surtout les adolescents sont influencés par la société ou par des meneurs, qu’on se prive facilement de nos libertés pour être totalement dépendant au régime totalitaire.

L’histoire et bien construite et on se sent vite aspiré par le livre, lorsque La Vague est créée, on a toujours envie de savoir jusqu’où vont les limites de ces adolescents mais aussi du chef qui est devenu un dictateur malgré lui.

Todd Strasser décrit bien les évènements, il sait comment captiver ses lecteurs en utilisant la technique du suspense.

Je trouve juste dommage que l’histoire du livre soit différente du film surtout lors de la scène finale. En effet, ayant aussi vu le film je reste sur ma fin concernant le livre même si le principe de toucher un public jeune reste le même.

Je recommande fortement ce livre à tous types de personnes et plus particulièrement aux adolescents. Les plus touchés par ce type de régime et les plus influençables sont les jeunes et d’un point de vue moralité, ça fait partie des plus anciens qui ont vécu de telles expériences d’inculquer aux plus jeunes les droits et les devoirs qu’on a vis-à-vis d’autrui.

Stéphane.S.

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8 février 2011

La Vague le film, sa critique

Le film La Vague est tiré d’une histoire vraie, une classe de terminale dans un lycée aux Etats-  Unis.

Ce film se base sur la  2nde Guerre Mondiale, il a été conçu pour rappeler à la nouvelle génération les horreurs qu’avaient pu subir les juifs dans les camps de concentration. On appelle ça aussi le devoir de mémoire.

Le réalisateur Dennis Dansel a voulu nous montrer que par une simple expérience on peut arriver à transformer un régime démocratique basé sur des droits et des devoirs solides à une autocratie du seul dictateur qui à le pouvoir avec comme droit et devoir d’être égaux mais privé de leur libre-arbitre.

Même si l’on nie l’idée que l’on puisse revenir à un tel régime, il existe en chacun d’entre nous une part d’inconscience qui nous pousse jusqu’à atteindre nos limites et que pour des adolescents, nous avons pas encore assez de maturité pour réfléchir et agir sans l’appui et le contrôle d’un chef.

Ce que je peux aussi souligner dans le film La Vague, c’est l’acteur Jurgen Vogel dit Monsieur Ryner qui est devenu un dictateur malgré lui. On remarque bien le dénouement de l’histoire lorsque Monsieur Ryner prend conscient que cela va trop loin. A ce moment là, on peut se demander si certains nazis au SS des camps ont eu cette même prise de conscience comme l'a eu Laurie la petite amie de l’un des membres de La Vague.

Un autre acteur m’a touché, celui de Robert, l’enfant souffre douleur et dont on remarque à peine l’existence. L’implication qu’il donne subitement à La Vague, de ce qu’il ressent pour ce régime est très fort mais ce personnage sera malheuresement marqué par un suicide.

Attaché trop d’importance à un groupe ou à une personne entraîne sa dépendance et donc être à ses ordres et lorsque ce groupe se dissout ou cette personne s’en va, cela entraîne une réaction néfaste aux dépendants et peut engendrer des actes irréparables.

Je trouve que la fin du film est une belle chute et démontre bien les conséquences que peuvent engendrer un tel début de régime autoritaire à notre « poque.

En l’occurrence, il y a eu un suicide et une personne en prison, je ne sais pas s’il faut s’en réjouir ou non contenu du potentiel dévastateur que peut engendrer un tel régime dont nous connaissons tous les conséquences grâce à l’histoire.

Stéphane.-S.

8 février 2011

La vague

La vague est un film de Dennis Dansel avec comme acteur principal Jürgen Vogel, Mr Rihner est professeur dans un lycée en Allemagne, il doit avec ces élèves faire un projet d'une semaine sur l'autocratie. Au fur et à mesure de la semaine il instaure tout d'abbord une sorte de travail interactif. Les élèves mettent un uniforme ensuite ils jugent qu'un clan a besoin d'un nom il choisissent "La Vague". Ensuite ils excluent toutes les personnes qui ne sont pas dans la vague. A la fin du film Mr Rihner se rend compte de l'ampleur de la vague et décide donc d'agir un jeune décide alors que la vague ne se termine pas et, je vous laisse le plaisir de découvrir la fin. Ce film a rappelé la montée du Nazisme en Allemagne, pourtant ces jeunes pensaient être à l'abri d'une remontée de dictature et pourtant ... Et vous si vous aviez été un élève de Mr Rihner ? J'ai trouvé ce film assez touchant et effrayant d'un autre côté puisque on a pu voir qu'avec un petit groupe de personnes une dictature peut s'instaurer. 

                                                                                                

8 février 2011

Plus qu'un film

Ce film inspiré du livre La vague se déroule en Allemagne dans un lycée. On est très vite emporter dans cette histoire baser sur des faits réels. Cette classe qui étudie l’autocratie ne se montre pas indifférente à ce sujet. Alors le professeur tente une expérience en imposant ces règles par la discipline en commençant à avoir une chemise blanche comme uniforme, un signe de salut et un emblème. Les élèves se prête volontiers à se mouvement, mais ce mouvement se répand dans toute l'école, les personnes qui sont dans le groupe se sente plus fortes ensemble. A la fin toute cette histoire perd le contrôle  du professeur qui s'est lui aussi pris aux jeux car le mouvement prend une ampleur même en dehors de l'école. Jusqu'a où cette expérience va t-elle aller ?

Ce film est passionnant et bouleversant. Il montre bien que n'importe qui peut être capable de folie sous influence d'un groupe. La fin n'est pas assez captivante, il aurait fallu q'elle soit plus dramatique et surprenant. De plus la musique est peu présente et donne un style à se film.

C.Legrand

8 février 2011

La vague (le livre)

L'histoire du livre est assez proche de sa réalisation au cinéma, cependant les noms des personnages sont différents. Dans le livre, Mr.Reiner , décide du nom, de l'uniforme et du salut lui même. Il n'est pas le coach de l'équipe de football du lycée comme dans le film. "La vague" prend de l'ampleur mais certains élèves, se rendent comptes de ce que cela devient. Je n'ai pas trop aimé ce livre, car en partie je n'aime pas trop lire, mais aussi car je l'ai lu après avoir vu le film, donc un peu répétitif. Le livre comporte beaucoup de détails que le film ne montre pas.

Philippe Delamarre

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8 février 2011

Yamakasi : Les Samouraïs des temps moderne

Lorsque je regarde ce film, mon attention est tellement portée dans l'histoire que j'en oublie le temps. Il me fait rêver en voyant les cascades effectuées.

Certains moments du film sont ennuyants surtout lorsque les acteurs principaux rentent dans l'hôpital y voir le jeune garçon. (Djamel).

Dans ce film, on peut voir que le réalisateur a voulu montrer qu'il existe un sport qu'on appelle " parkour " et qui consiste a prendre la rue comme un terrain de jeu.

Il y a peu d'effets spéciaux notamment au début lorsqu'ils gravient un immeuble de 24 étages. En réalité ils ont fait un montage où la tour est à l'horizontal. Là où l'on peut croire qu'il y a des effets spéciaux c'est lorsqu'ils sautent du toit d'un immeuble à une maison au dessus d'une rue large de 6m.

Pour ce film, ils ont filmé en rapidité car les cascades y sont beaucoup présentes. C'est un film rempli d'actions du début à la fin.

Les héros de  ce film m'ont beaucoup marqué car les cascades faites sont pour la plupart réelles car elles sont inspirées d'un professionnel de ce sport qui a contribué à ce film.

Yamakasi se passe dans la région parisienne autour d'immeubles et de maison où nos 7 héros y grimpent et rentrent dans des maisons pour voler des objets de valeurs. C'est la lumière naturelle car elle nous provient du soleil et que c'est réalisé à l'extérieur.

La bande sonore est plutôt entraînante

Hérymichel GROSS

8 février 2011

Un film passionnant

No et moi est un film de Zabrou Breitman celui-ci raconte la vie d’une SDF du point de vue d’une fille nommé Lou Bertignac. Pour son exposé, Lou va interroger No, une jeune SDF. Ces deux personnes qui ne se connaissent pas vont très vite devenir amies. Lou loge No chez elle. No a plus de 18 ans celle-ci boit et fume constamment ce qui ne plait pas au père de Lou. Le patron donne une place pour son travail que le père de Lou ignore encore ? le père de Lou ne supporte plus que No fume et boit tous les soirs. Il décide de la mettre à la porte. Celle-ci est recueilli par Lucas un camarade de classe. Ils vont découvrir le vrai job de nos qui va tout faire basculer.

Ce film est passionnant car on y voit comment vivent les SDf et les difficultés qu’ils rencontrent au cours de leur vie.

Le réalisateur à voulu nous montrer comment est la vie d’une jeune SDF et comment cette SDF peut changer avec l’aide des personnes qui l’entour.

Le réalisateur de ce film utilise essentiellement la lumière artificielle et zoom et dézoom dans le a scène où Lou et No sautent sur le lit. A ce moment la il y a beaucoup de mouvement avec la caméra et du rock apporte de l’énergie dans le film.

No est le personnage qui m’a le plus marqué, celle-ci boit, fume et rigole beaucoup. Elle peut aussi devenir agressive. Elle est très convaincante et ment pour ne pads dévoiler son nouveau job.

Ce film a été tourné à Paris. Il y a plusieurs lieux où ont été tourné les scènes par exemple à la gare d’Austerlitz, dans la maison de Lou, au lycée de Lou, dans la maison de Lucas, ou encore dans le bar de Paris. No était habillée avec des vêtements sales et déchirés contrairement à Lou qui était habillée avec des vêtements chauds et de bonne qualité qui tiennent chaud.

Noémie.Scheffer

8 février 2011

La vague (le film)

Mr.Reiner, professeur dans un lycée, demande à sa classe si une nouvelle dictature serait possible, les avis sont partagés. Il réussi à faire de sa classe un groupe soudé, avec un nom, un salut, un uniforme (chemise blanche). Ce groupe a pris du pouvoir et devient incontrôlable, ils taguent leur sigles et devienne membres d’une vrai dictature. La fin est tragique avec deux morts et tout les élèves sont déçus de ce qu’ils sont devenus, car certains sont devenus accros, ils se sont sentis de même valeur, mais surtout supérieurs aux autres. Toutes les sensations sont ressenties, cela commence comme un jeu, mais s’aggrave. Le spectateur a envie d’en faire partie pendant longtemps mais la fin lui fait ouvrir les yeux comme s' il l’avait vécu. Et vous, comment auriez vous réagi a la place de Mr.Reiner ?

Delamarre Philippe 

8 février 2011

No et Moi

« No et Moi » est un film avec beaucoup de suspense et de rebondissement qui est sorti en salle en novembre 2010.

Lou, une jeune fille calme qui a des problèmes chez elle, tente une nouvelle aventure, très dure pour moi je pense. Car elle est tombée sur une jeune fille sans abri qui s’appelle No et qu'elle voudrait aider à s'en sortir. Elle a même demandé  à ses parents si elle pouvait l’héberger mais No va- t-elle la respecter ?

Les jours passent et No trouve enfin un travail en tant que femme de ménage. Chez Lou, tout s’arrange :  sa mère dépressive se rétablit ...elle sourit, je pense que c'est grâce à No, à sa bonne humeur et à sa joie de vivre. Quelques semaines plus tard, No commence à rentrer de plus en plus tard ce qui inquiéte Lou. Ses parents prennent la décision :  elle doit quitter la maison !!! pour moi c’était normal mais très dur à avaler. Mais Lou trouve Lucas son camarade de classe qui héberge No mais quelques semaines après No disparait.

Le personnage qui m’a le plus marqué est Lou Bertignac. Elle voulait vraiment venir en aide à cette jeune fille sans abri et elle s'est donnée vraiment à fond dans cette mission même si No était très têtue. Leurs costumes étaient très variés.

8 février 2011

un film a ne pas rater

Ce film m'a fait réaliser ce qu'est exactement une dictature. La vague qui était un cours d'histoire sur l'autocratie est devenue une dictature. Ce qui  n'était pas possible en Allemagne avec le nazi,  le même évènement se réalisa quelques années plus tard en Amérique lors d'un cours d'histoire.

Le réalisateur a voulu raconté: ce qui s'est passé en Allemagne avec en reprenant les faits qui sont passé en Amérique. Sur le cours d'autocratie de M.Rayner les élèves jouent le jeu. Ils s’habillent  avec des chemises blanches, font un signe pour dire bonjours, on un logos et un nom de groupe. Ca devient une vraie dictature et le problème est que le cours d’autocratie doit durer une semaine. Le film se déroule dans un lycée. Je trouve ce film inspirant, on ce met facilement dans la peau d’un personnage. Le professeur ne remarque pas que la vague devient une vraie dictature et à la fin du film sa femme le quitte car elle remarque qu’il devient de plus en plus fou et il va aller en prison. La directrice de l’académie est de son côté. Ses élèves devient de plus en plus unis, ils se sentent bien au sein de la vague et veulent y rester. La vague n’est pas seulement dans le cour sur l’autocratie mais partout. M.Rayner est professeur de sport. Il a une équipe ou il n’y que les membres de la vague et une autre ou il y a ceux qui n’appartient pas au groupe. Lorie une de ses élèves a remarqué que la vague devenait une vraie dictature. Elle a écrit des tractes contre la vague et les a jetés lors d’un macht. Cela a tout bouleversé et le macht et devenu un combat. La bande sonore m’a fait entré de le film, m’a fait aussi comprendre les situations.

C.Siegler

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